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16/08/2010

Paul EVRARD, coopérant et photographe professionnel

 

1976 / 1982 : Coopérant en Algérie (durée 6 ans).

1985 / 1986: Paris, Alger, Djanet, Tamanrasset, Arlit, Iférouane, Agadez, Niamey, Gao, Reggane, Fez, Madrid, Paris (Lada 4x4, durée 2 mois).

1988 : Ouagadougou, Côte d'Ivoire, Libéria, Sierra Léone, Mali, Ouagadougou (Moto Ténéré 600, durée 3 mois). Reportage sur les Dogon.

1990 : Namibie. Nairobi, Arusha, Dar Es Salam, Iringa, Mpika, Lusaka, Les chutes du Zambèze, Nata, Maun, l'Okavango, Mamouno, Windoek (Gilles et Paul Ténéré 600 durée 2mois).

1991 / 1992: Traversée en solitaire de l'Afrique par la côte Ouest (durée 6 mois) : Alger, Agadez, Maidiguri, Douala, Bujumbura, Lusaka, Levingstone, Maun, Windoek, Le Cap, Johannesbourg, Le Cap (Yamaha 660 XTZ, Guinness des records 1994, lauréat de la bourse de l'aventure Yamaha).

1994 : Traversée en solitaire de l'Afrique par la côte Est (durée 1 an). Le Caire, Kartoum, Asmara, Addis Abeba, Nairobi, Dar Es Salam, Lilongwé, Maputo, Barbane, Le Cap, Windoek, Levingstone, Johannesbourg (Guinness des records 1996, BMW GS R100). Reportage sur les Himbas en Namibie.

1996 : Envoi du side-car à Djibouti. Djibouti, Addis Abeba, Nairobi, envoi de la moto en Inde par avion et retour à Paris par la route, Bombay-Paris (Side-car Dniepr équipé d'un moteur BMW R60, durée 6mois). Reportage sur les Ethnies dans le Gamo Gofa en Ethiopie.

1997 : Envoi de la moto à New-Delhi puis retour à Paris à moto par le Pakistan, l’Iran, la Turquie, la Grèce, l’Italie et la France. (BMW GS R100, durée 3 mois). Reportage sur le souk de Peshawar.

1998 : Reportage sur la Maha Kumbh Mela à Haridwar en Inde (durée 3 mois).

1998 / 1999 : Reportage en Inde sur la Fête des Eléphants dans le Kérala puis sur la Fête du désert à Jaïsalmer et sur la foire de Nagaur dans le Rajastan.

1999 : Reportage sur la Semaine Sainte en Espagne dans la ville d’Ubéda.

1999 : Invité par le Ministère du Tourisme Nigérien à l’Eductour 99.

2000 : New Delhi Paris avec ma compagne Olga, à Moto (BMW GS R100), reportage sur le bazar de Peshawar et Lahore.

2001 : Reportage en Inde à Allahabad sur la Maha Kumbh Mela de Janvier à Mars.

2002 / 2003 : Traversée du continent américain avec Olga ma compagne (Moto BMW 1150 GS, durée 1 an). Canada (départ de Montréal), USA, Mexique, Guatemala, Honduras, Costa Rica, Panama, Equateur, Pérou, Bolivie, Chili, Argentine, Brésil. Reportage sur les marchés latino. Récit de 170 pages.

2003 : Reportage sur la Kumh Mela à Nasik en Inde.

2004 : Reportage sur la Kumbh Mela d’Ujjain en Inde. Reportage sur le festival de Pushkar.

2005 : Reportage sur la Gay Pride à New-York.

De tous ces périples, j'en ai ramené des images, des scènes de la vie quotidienne, qui pour la plupart ont fait l'objet d'expositions (Kodak, FNAC, Musée de Bélesta, Centres Culturels etc..).

 

EVRARD-Paul_Rue de Lappe.jpg
Mur peint (Ph Paul EVRARD)

 

08/08/2010

Gérard PERREAU-BEZOUILLE, Coopérant et Photographe

Gérard Perreau-Bezouille, né en 1951, est un élu politique local en tant que premier adjoint de la ville de Nanterre.

Ancien joueur de handball, il dirige pendant un temps le club omnisports de l'Entente sportive de Nanterre puis devient coprésident de la Fédération Française des Clubs Omisports (FFCO).

Il est agrégé d’économie gestion et Chevalier de la Légion d’Honneur.

 

Premier Adjoint de Nanterre

Gérard Perreau-Bezouille est premier adjoint de la ville de Nanterre. Après avoir occupé les fonctions de maire adjoint aux sports et aux jumelages, puis avoir été délégué à la communication aux systèmes d’informations, il exerce les fonctions de maire adjoint aux finances puis de président du groupe C.I.C. (« Communistes et d’Initiative Citoyenne »).

Impliqué très tôt dans les processus de démocratie participative, liant expérimentation pratique et analyses diverses (articles, colloques…), à Nanterre il anime successivement la mise en place des « Cahiers pour la Ville » (élections de 1995), puis les Assises pour la ville (à partir de 1997), du Comité Local de la Démocratie Participative, des « appels à projets » (dispositif original de budget participatif adapté aux conditions françaises). Il propose et met en place « l’Agora - Maison des Initiatives Citoyennes » et Le Cyber (colloque Révolution numérique et mutations urbaines, Déclics !...) à la fusion desquels il travaille dans la dernière période.

Administrateur, depuis sa création, de l'Établissement public d'aménagement Seine-Arche (EPASA), il s'investit beaucoup pour une prospective durable et solidaire, un aménagement sensible, accordant une place spécifique à l'imagination et à l'action sur l'espace public, au respect des différences d'échelle, de temps et d'espace. Il participe au projet de Maud Le Floc'h  "Un élu, un artiste" qu'il présente au Québec. Il développe cette conception lors des entretiens de 2008 du journal Libération, dans un échange avec Sophie DUEZ ; puis, polémique sur le thème des grands Pari(s).

Il assume le passage d’une informatique centralisée (avec un syndicat intercommunal « NORD 92 ») à une informatique répartie (réseaux, micro-ordinateurs), et apporte dans ce cadre une réflexion spécifique à la modernisation du service public communal. Un Budget Par Activité (B.P.A.) est en cours de mise en place sous sa responsabilité afin de permettre aux élus comme aux citoyens de mieux s'approprier les grands choix financiers de Nanterre à partir des politiques publiques avec la construction d'indicateurs d'environnement et d'action.

Il est invité à présenter ces diverses activités lors de colloques professionnels dont les Entretiens Territoriaux de Strasbourg (ETS 2006) organisés par le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT), Multimédiaville, l'Université d'été de la Communication d'Hourtin, le séminaire Autorités de régulation et acteurs publiques territoriaux, le colloque révolution numérique et mutations urbaines...

Deux expériences transversales marquent aussi son intervention au niveau local : la commémoration du changement de millénaire marquée par une exposition constituée d'objets et de témoignages de Nanterriennes et de Nanterriens et "l'année de l'Algérie à Nanterre". Dans le domaine du rapport des villes au monde, il pilote le passage d’une politique basée exclusivement sur les jumelages à une vision à trois composantes de l’activité monde, articulant projets d’action (coopération décentralisée) en liaison avec les citoyens et leurs associations, relance des jumelages traditionnels, travail en réseau.

Coopérant

Coopérant en Algérie (1977-1979) à la Faculté de Sciences Économiques de l’Université d’Alger, il conçoit des supports de formation pour assurer la réussite de la mise en place du Plan Comptable Algérien (PCA).

Amateur

Amoureux de la photographie et du surréalisme, il réalise deux expositions « Algérie au cœur » et « Nairobi » et rédige quelques articles critiques sur des expositions.

 

 

Gérard Perreau-Bezouille_ph-Wikipédia.jpg

30/07/2010

Émigré dans mon pays (François LEFORT) 2

 

 (suite)

Si ces expulsions appartiennent actuellement, heureusement, au domaine de l'histoire, il y a un chiffre qui me parait cependant toujours significatif : 82 %  des jeunes expulsés que je recevais chez moi, repartaient clandestinement en France, et beaucoup de ceux qui restaient y pensaient. Ceci m'a toujours surpris.

Pourquoi ces jeunes ne réalisaient-ils pas que leur vie en France n'avait été qu'une succession d'échecs, alors que l'Algérie leur proposait de refaire leur vie ? Car il y a de l'avenir dans ce pays qui se développe ; et il est possible d'y trouver du travail. Ces jeunes auraient pu se dire que dans une situation de crise, leur avenir, en France, était de toute façon bouché. ils auraient pu se dire qu'enfin on leur proposait une vie sans racisme, sans brimade, sans violences policières... que sais-je ? Les arguments étaient nombreux, et je les ai développés souvent, mais en vain. J'avais beau leur trouver du travail, un logement, des amis ; très vite, ils repartaient clandestinement en France, grâce à de faux papiers, «grillant» le bateau (voyage clandestin), utilisant parfois des filières plus ou moins dangereuses, certains ne sont jamais revenus. Marie Roumi dans ses mémoires écrits sous le titre : Un nom de papier, raconte très bien cette société secrète de « Boat-People » clandestins que constituaient ces jeunes expulsés.

Lorsqu'ils étaient repris par la police française, ces jeunes, après avoir fait six mois de prison, étaient de nouveau expulsés vers Alger, je n'en ai jamais connu qui ait pensé un seul instant s'établir en Algérie. Ils repartaient toujours.

Un haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur français au­quel je rapportais ces faits me disait : « L'Algérie est donc un enfer ? » Et je ne pouvais que lui répondre que personnellement je m'y plaisais beaucoup. Mais tout cela m'interrogeait, et j'ai donc cherché à approfondir ce problème auprès des immigrés que je rencontrais à Alger.

Je voudrais signaler un détail particulièrement frappant : dans ma vie, j'ai malheureusement eu souvent à subir des discours racistes. asti-algériens ; niais jamais je n'en ai entendu d'aussi violents que ceux de jeunes expulsés parlant de leur pays et de leurs compatriotes, jamais ! Ces jeunes avaient très bien assimilé le discours raciste dont on leur rebat les oreilles depuis leur plus tendre enfance. Je les ai entendus avoir des propos racistes dans les rues d'Alger, parlant de « bicots », de « ratons », de « melons ». En l'espace de quelques heures, la victime était devenue agresseur. Je me souviens d'un expulsé de La Tallaudière qui ne disait pas les Algériens niais les « singes » ! Je me souviens d'un immigré ayant fait plusieurs années d'études supérieures, et qui refusait de parler à des nationaux...

Si les expulsés ne restent pas, il est symptomatique également de voir que les autres : les étudiants, les techniciens, les jeunes mariés, eux aussi dès qu'ils le peuvent, retournent en France.

Paradoxalement, ce sont souvent les jeunes qui sont venus accomplir leur service militaire qui repartent vers la France les plus satisfaits de leur expérience. Les conditions ont été difficiles mais elles ont été partagée avec les nationaux.

J'avais donc envie d'explorer la question de l'échec du retour des émigrés de la seconde génération. Or il se trouve qu'à Vaucresson, Monique Néry avait le même projet …

 

François LEFORT ( en 1982 )

 

François LEFORT et Monique NÉRY

Émigré dans mon pays

 

CIEM, L’Harmattan,

Paris, 1985

 

21/07/2010

Émigré dans mon pays (François LEFORT) 1

 

POURQUOI CETTE ÉTUDE ?

 

J'aime passionnément l'Algérie, j'y vis depuis douze ans et je continue encore à aller de découvertes en découvertes. J'ai été séduit par l'accueil de cette population que ce soit à Alger ou à El Oued, à Maghnia ou à Tébessa. J'ai été séduit par la solidarité, le rythme de la vie, la volonté farouche de réussir. J'ai été séduit par l'explosion du développement industriel ou culturel qui fait que malgré les difficultés qu'il ne faut pas nier, l'Algérie d'aujourd'hui ne ressemble déjà plus que de très loin à celle que j'ai connue il y a dix ans. Oui, j'ai été séduit par l'Algérie...

Et j'emploie volontairement ce terme, car je pense que c'est une caractéristique de ce pays, il ne laisse pas indifférent. Comme une belle femme, on l'adore ou on la déteste, parfois même les deux en même temps.

Depuis le 17 octobre 1961, une nuit oubliée où plusieurs centaines d'Algériens ont été abattus dans les rues de Paris, je passais le plus clair de mon temps dans les bidonvilles de Nanterre à voir naître, puis grandir ceux que l'on appellera plus tard (à tort) la seconde génération d'immigrés. Progressivement, je liais ma vie à ces jeunes, j'apprenais l'arabe et leur retour prochain en Algérie ne faisant alors pour moi aucun doute, je ne faisais qu'anticiper leur décision en allant moi-même m'installer à Alger pour les attendre en septembre 1970.

 

J'attends toujours, et je commence à m'impatienter. Le retour des jeunes émigrés est, hélas, un peu comme le serpent de mer dont on parle souvent mais que l'on ne voit pas.

Pourquoi ?

Pourtant, il y a eu des tentatives. J'ai vu passer chez moi à Alger des centaines de jeunes immigrés qui pour une raison ou une autre vivaient en Algérie. Leur situation était diverse. Ils étaient étudiants, militaires, expulsés, cadres supérieurs, barmen, clochards, jeunes mariés ou mariées, travestis... Aucun ne s'est vraiment établi. Beaucoup sont repartis en France définitivement, certains même avec la ferme intention de ne plus jamais revenir en Algérie même en vacances.

Pour moi qui suis une greffe qui semble avoir pris dans ce pays, leur réaction est souvent incompréhensible. Cette question me tracassait, il y avait, bien sûr, des arguments avancés mais ils cachaient quelque chose d'autre, alors j'ai cherché à comprendre les causes de ce rejet. La question était de savoir pourquoi les jeunes immigrés, quels que soient leur niveau d'études, leur sexe, leur classe sociale ou leur condition de retour, échouent pratiquement toujours quand ils décident de s'installer définitivement en Algérie.

En cc qui me concerne, cette question s'est posée avec beaucoup plus d'acuité en 1981, lorsque M. Christian Bonnet, ministre de l'Intérieur, améliorant l'outil progressivement aménagé par MM. Poniatowski et Marcellin, pensait avoir trouvé une solution idéale aux problèmes posés par la seconde génération immigrée (et particulièrement algérienne) en les expulsant définitivement du territoire français. En l'espace de quelques années j'ai accueilli chez moi près de 300 jeunes expulsés. Leurs conditions d'expulsion étaient presque toujours dramatiques, souvent scandaleuses.

C'est ainsi que j'ai vu un jeune être expulsé pour un vol de vingt-sept francs cinquante dans une maison de jeunes, un autre, paralysé des deux jambes, être accusé d'un vol à l'arraché, Minute lui reprochait même de s'être caché à l'hôpital pour se faire mettre une prothèse totale de la hanche au lieu de partir tout de suite en l'Algérie.

J'ai reçu un mineur qui avait été mis à l'avion sans que ses parents n'en soient avertis... mais ce procès a déjà été fait, et la grève de la faim de Lyon a heureusement contribué à éliminer, nous l'espérons définitivement, cette forme d'injustice vis-à-vis des jeunes.

 ...

 

François LEFORT ( en 1982 )

 

LEFORT-François_Emigré dans mon pays_couv.jpgFrançois LEFORT et Monique NÉRY

Émigré dans mon pays

 

CIEM, L’Harmattan,

Paris, 1985

 

13/07/2010

François LEFORT, (trop ?) près des jeunes

 

François Lefort

Né en 1946 à Boulogne-Billancourt (92)

 

François Lefort prend très tôt des engagements associatifs (Secours catholique) auprès des enfants maghrébins du bidonville de Nanterre. Organisation de camps d’été, de loisirs sportifs et culturels.

 

Septembre 1970 : Arrivée à Alger comme VSNA, Instituteur au Cours de Rattrapage de Belcourt à Alger de 1970 à 1972, puis directeur de ce Cours jusqu’en 1973.

 

Médecin, diplômé de l’université d’Alger (juin 1982), diplômé d’arabe dialectal à la Sorbonne (1973).

 

François LEFORT_médecin.jpg

 

Ordonné prêtre à Alger par le cardinal Duval le 29 juin 1976

 

Ce double engagement de prêtre et de médecin, sa connaissance de l’arabe et des populations immigrées, conduit François Lefort à  exercer son ministère en Algérie d’abord (1970-1982), puis en France comme chargé de mission au Secrétariat d’Etat aux travailleurs immigrés, qui devient ministère des Affaires sociales. (octobre 1982-novembre 1984). Sa mission consiste à concrétiser la destruction des bidonvilles et des cités de transit, à favoriser l’insertion des jeunes de 2ème génération, et la prévention de la délinquance dans les cités difficiles.

 

De novembre 1984 à février 1985, il effectue un tour du monde au cours duquel il s’intéresse à la condition des enfants des rues, notamment en Asie. C’est là qu’il découvre la réalité d’un tourisme sexuel organisé, notamment de pédophilie.

 

Au printemps-été 1985, il exerce la médecine à Tunis, à la clinique Saint-Augustin.

 

À son retour en France, en septembre 1985, il dénonce vigoureusement la pédophilie, exercée par des touristes occidentaux dans les pays du Tiers-Monde. Il dénonce le réseau hollandais Spartacus, éditeur de guides touristiques à l’usage des pédophiles. Il participe à la création d’une association ACPE (Association Contre la Prostitution Enfantine) qui sera présidée par Monique Loustau et participera à des procès de pédophilie.

 

De décembre 1985 à juillet 1993, il est médecin en Mauritanie et participe à la création de foyers d’enfants des rues à Nouakchott dirigés par des responsables mauritaniens ou expatriés. Il est aussi directeur de la Caritas à Nouakchott de décembre 89 à janvier 93.

 

De janvier 1993 à juin 1995, il est secrétaire général du fonds de solidarité pour les enfants des rues de la fondation Raoul Follereau et de juillet 95 à juin 1997 chargé de mission enfants des rues à Médecins du Monde.

 

En 1994 et 1996, il effectue des missions d’urgence avec Médecins du Monde au Zaïre , au Rwanda et au Libéria, notamment pendant l’épidémie de choléra à Goma en 1994, à Monrovia au printemps 1996, à Kisangani et Amisi fin 1996.

 

 

En décembre 1995, il est mis en examen pour viols, plainte portée par des enfants des rues du Sénégal. François Lefort a séjourné moins de 4 mois au Sénégal, le plus souvent pour des séjours de quelques jours. Il  a créé à Rufisque (Sénégal) des sessions de formation de chefs de projets « enfants des rues » du monde entier.

 

 

Depuis juillet 1997, il est engagé au  diocèse de Macon, et en août 1999 devient curé de la paroisse Saint Augustin en Clunisois, 16 communes de la région de Cluny,  et ce jusqu’en juin 2005

 

 

 

En mai 2000, François Lefort écrit : On ne piétine pas les étoiles

 

En septembre 2004, il écrit  : Une sandale dans le désert

 

François Lefort_Une sandale dans le désert.jpg

 

 

 

 

 

Association Droit à la Justice