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06/04/2008

René GAQUIÈRE (17 ans en Afrique)

 

49455867.jpgOriginaire d’un village d’Artois. Professeur de lettres, il part faire sa coopération en Algérie. Puis ce sera le Burundi, la République Centrafricaine, l’Angola. Directeur de l’Alliance Française au Zaïre. Il a exercé dix-sept ans en Afrique. Il est aujourd’hui installé au pays Basque.

Il a reconstitué en une chronique saisissante la vie d’un village d’Auvergne au XVIIème siècle (Le Chauche-Vieilles ou le Dit de Vitale - 2002 – Ed Créer).

Il publie des nouvelles dans diverses revues : Brèves, Sol’Air, Les hésitations d’une mouche.

Également auteur de nombreuses pièces de théâtre.

 

   

Ouvrages :

LE CHAUCHE VIEILLES

LE CARROUSEL DES DUPES

Au début des temps, il y eut sans doute un trompeur et un trompé. Les choses étaient claires alors. Mais bientôt tout se compliqua. Vinrent l’arroseur arrosé, les apprentis sorciers de tous crins, plus ou moins adroits, plus ou moins pervers, les charlatans, bonimenteurs, illusionnistes, faiseur de miracles, le bon docteur Freud, le fameux « à l’insu de mon plein gré », les petites combines, les mensonges anodins et les grosses arnaques. On finit même par découvrir que le propre de l’homme n’était peut-être pas tant le rire que cette prodigieuse faculté qu’il a à se mentir à lui-même.

Qui dupe qui ? Est-ce toujours par intérêt personnel ? Quelle est la part du ludique dans la tromperie ? Le ciel lui-même, le destin, ne seraient-ils pas, au bout du compte, les plus grands arnaqueurs ? etc. Autant de questions auxquelles ces courts récits ne prétendent certes pas répondre. Du moins jettent-ils un éclairage contrasté sur la risible vanité de l’humanité, cet immense « Carrousel des dupes ».

Que la fête commence donc ! Tournez les pages, tournez manège.

***

  

 Anglet Magazine: Dans votre recueil "Au petit bonheur la mort", ce sont des nouvelles que vous regroupez. Est-ce le genre qui vous correspond le mieux?

René Gaquière : Aussi loin que je me souvienne, j écrivais et je me racontais des histoires... Comme les enfants.... Mes histoires étaient d'abord destinées à moi-même. Vous savez, quand on se raconte des histoires avant de s'endormir, il est évident qu'il ne faut pas qu'elles soient trop longues sinon, on s'endort avant.. Et puis j'ai des piles de carnets de route et les notes que je prenais étaient forcément brèves. J'ai voyagé par la force des choses et j'ai sollicité cette force-là. J'ai rassemblé ces nouvelles dont le dénominateur commun est l'insouciance par rapport à la mort. Elles s'inscrivent dans un parcours de trente ans de ma vie, mais il y a aussi des fictions comme celle que j'ai imaginée quand j'avais 16 ans. 

 

SOURCES : Editions CREER  et   Ville d’ANGLET  (page 33)

19/03/2008

Raymond COUDERC en Algérie et sur Wikipédia

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Raymond_Couderc

 

 

1451057977.jpgRaymond Couderc est un homme politique français né le 16 septembre 1946 à Bordeaux. Il est actuellement sénateur-maire de Béziers.

 

Carrière universitaire

Professeur des universités en géographie, auteur d'une thèse d'État sur les hautes steppes oranaises, coopérant en Algérie pour le ministère de l'agriculture dans les années 70, il a d'abord enseigné à l'Université d'Alger, puis à l'Université Toulouse II et enfin à l'Université Montpellier III, où il dirige la filière d'aménagement rural, avant de prendre sa retraite en 2004.

   

Parcours politique

En 1983, il est 3e adjoint au maire de Béziers, après la victoire de Georges Fontès (RPR, ancien PS)

En 1992, il est élu conseiller général sur le canton de Béziers-4 (jusqu'en 1998)

En 1993, il est élu député UDF de la 6e circonscription de l'Hérault.

En 1995, il bat Alain Barrau aux élections municipales et devient maire de Béziers.

En 1998, il est élu conseiller régional du Languedoc-Roussillon sur la liste RPR/UDF de Jacques Blanc.

En 2001, il est réélu au 1er tour face, à Jean-Claude Gayssot (gauche plurielle).

En 2004, il mène la liste UMP de Jacques Blanc dans le département de l'Hérault pour les élections régionales où il est réélu conseiller régional.

Le 26 août 2007, il est élu sénateur de l'Hérault, lors d'une partielle organisée suite à l'élection comme député d'André Vézinhet.

Le 9 mars 2008, il est réélu pour la troisième fois à la mairie de Béziers face au socialiste Jean-Michel Du Plaa au premier tour avec 52,07% des voix.

Il est également secrétaire de la fédération UMP de l'Hérault, dont le député Paul-Henri Cugnenc était le président.

 

Politiques économiques

Ses principales réalisations à l'échelle municipale sont la restructuration du carrefour de l'Hours (avec un projet de galerie commerciale dénoncé par l'opposition de gauche comme remettant en cause la revitalisation du centre-ville), l'appui au développement du centre universitaire Du Guesclin, la création de Fèsta d'Oc (festival occitan) qui se déroule chaque année à la mi-juillet, et l'embellissement du centre-ville (allées Paul Riquet, rue de la République). Depuis 2004, il lutte avec Jacques Blanc contre Georges Frêche, nouveau président de la région Languedoc-Roussillon. Il lance par exemple, une campagne « 2004 a voté, 2005 va payer », contre les hausses d'impôt votées par le conseil régional, pour mener à bien le projet d'actions 2005/2010.

 

Raymond Couderc est également président de la Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée.

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Son Site officiel

 

15/07/2007

L’ALGERIE, LE GRAND SAUT POUR LE DR BIGOT.

b543604f2a57ef49802094ca1d231b01.jpgJean-Jacques BIGOT est né en 1946 dans l’Eure-et-Loir. Par hasard, dit-il. Sa famille s’était enracinée à Paris depuis longtemps déjà. Il y a grandi. Sept ans à Paris-même puis en banlieue. Il y a fait ses humanités puis sa médecine. Il y a passé sa thèse.

 

C’est en banlieue qu’il a fait ses premiers remplacements avant le grand saut : coopérant en Algérie.

En rentrant d’Afrique du Nord, en 1975, ce parisien choisit de s’installer au Houga, au cœur du Gers. Il y exerce toujours 30 ans plus tard. Seul.

 

Jean-Jacques pratique encore cette médecine rurale qui fait si peur aux jeunes diplômés. Médecin pompier volontaire depuis 1975, il aurait aimé rompre cette solitude professionnelle. Une tentative d’association avorta à la veille de la signature.

 

Maintenant, à sept ans de la retraite, il a choisi de mieux s’organiser, et réussit à dégager un peu de temps... pour … chanter.

  

  Qu’est-ce qui le pousse à chanter, à diriger ?

« Je crois que c’est le plaisir de dynamiser un groupe autour d’un projet artistique commun, plaisir du beau résultat, plaisir du groupe très soudé par le travail assidu, la jouissance de l’oreille et le résultat final.

Chanter en groupe, c’est retrouver également le chemin de l’art et redevenir soi-même artiste, c’est-à-dire créateur de beau. Monter une pièce polyphonique nous plonge en effet dans une belle aventure artistique. On construit ensemble avec d’autres et pour d’autres.

Être « ensemble » c’est peut-être ce qui résume ce que nous ressentons. Former un ensemble qui fonctionne bien. S’écouter et s’ajuster. Je leur répète souvent : « Chantez moins fort. Écoutez les autres. ».

C’est là qu’est le plaisir, la justesse, l’harmonie, une forme de communion.

Il y a aussi le plaisir du puzzle, de l’assemblage, de l’alchimie. Les pupitres travaillent d’abord chacun de leur côté, sous la direction de répétiteurs. Ensuite, on assemble.

Parfois, la magie opère. J’ai appris tout seul à diriger, « sur le tas ». Ca tient peut-être à une vocation refoulée d’enseignant. J’aime faire partager ce que je connais, ce qui m’a donné du plaisir. Je retrouve ça dans mon autre passion, le sport (tennis, planche à voile, dans le temps saut à la perche). J’aime aider les gens à se perfectionner. Quelle satisfaction quand les morceaux sélectionnés leur procurent le plaisir de découvrir une mélodie, des harmonies nouvelles, l’essence de la musique derrière la partition.

C’est une forme vivante d’éducation musicale. On vit de l’intérieur comment est faite une orchestration. Aucun de mes choristes n’a une voix de soliste. Certains timbres ont des défauts. Certaines oreilles sont en difficulté. Pourtant, par le travail du groupe, on arrive à un résultat agréable. Le résultat est bien supérieur à la somme des parties !

Cette activité rythme mon temps, ponctue la semaine : recherche de partitions, harmonisation, préparation du travail et répétitions. J’y pense même entre deux malades et je travaille mes chants dans la voiture entre deux visites. Cela m’accompagne toute la semaine. C’est un stimulant, un dynamisant. C’est ma dope ! »

 

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11/03/2007

Patrick BARTHELAT à Relizane et à Hadjout

      "J'ai été très ému de découvrir votre site. Moi même , je suis parti en coopération, et la même année que vous, en 71. Nous étions probablement ensemble au stage d'Aix dont je me souviens très bien et à la réception du consul d'Algérie à Marseille (à l'Hôtel de Noailles si je m’en souviens bien) sur la Canebière (ça j'en suis certain).

Je suis ensuite parti vers l'ouest, à Relizane où je suis resté plus longtemps que vous puisque j'ai prolongé d'encore 2 années, jusqu'en 75 donc.

Après une année en France je suis retourné 3 ans à Hadjout, près de Tipasa.

 

J'aimerais, comme vous, retourner voir ces lieux et essayer de retrouver des élèves mais l'occasion ne s'est pas encore présentée. Je dois reconnaître que j'ai eu peur de la "guerre civile" qui a eu lieu là bas et qu'aujourd'hui encore je ne me sentirais pas très rassuré de voyager seul (j'ai probablement tort, mais on a vu et entendu tant d'horreurs sur ce qui s'est passé en Algérie ces dernières années ; j'en étais chaque fois bouleversé et j’ai souvent fait des cauchemars).

 

Félicitation et merci pour votre site."

  Patrick Barthelat. Juin 2006

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02/07/2006

BIENVENUE

Bienvenue sur mon "Blog":

 

Coopération en Algérie

Voici une première photo prise en 1973 lors d'une balade dans le Djurdjura (Kabylie)  avec des élèves scolarisés à l'école des Pères-Blancs de Taguemount-Azouz (Beni-Douala) : 

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et une autre de moi dans le jardin de l’école :

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