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11/10/2009

Françoise BARRY présente son livre "Justine …"

 

Françoise Barry native de Jaujac en Ardèche a passé ses 10 premières années dans son village niché dans une vallée au sol de lave et de basalte. Après la disparition de ses parents, elle se retrouve à Nîmes où elle est interne aux lycées Feuchêres puis Montaury. Après le bac, elle se prépare à devenir institutrice après un passage à l'Ecole normale de Privas. Après de nombreux remplacements dans l'Ardèche et dans le Gard elle part en coopération en Algérie où elle enseigne 7 ans. Elle poursuit sa carrière d'enseignante dans l'Oise durant 10 ans. En 1983, la voilà en Lozère, professeur des écoles dans l'enseignement spécialisé où elle fait la classe à des cas sociaux, adolescents de 13 à 20 ans, venus surtout de la région parisienne. Après 15 ans auprès des délinquants, elle arrête sa carrière auprès des jeunes. Cependant elle poursuit ses cours à titre bénévole en préparant des adultes qui ont arrêté leurs études trop tôt et se retrouvent sans diplômes. A l'issue de ces cours, deux jeunes femmes ont pu obtenir un CAP et sont à présent fonctionnaires en Lozère. Installée depuis 4 ans dans le Gard, elle a écrit 4 livres dont 3 publiés : en 2004 :Les Hommes du viaduc (éditions GabriAndre, 2004), L'Etrangère des Hautes Terres (GabriAndre, 2006) Prix VALLEE LIVRE CEVENNES, Justine, une Oubliée de Rieucros (éditions la Mirandole, 2007). Le 4ème livre est parti dans des maisons d'édition, un 5ème est en cours. Françoise Barry écrit des romans de pure fiction ou des romans à base historiques tels que Les Hommes du Viaduc et Justine, une oubliée de Rieucros.

 

1938, les menaces de guerre angoissent Justine, 20 ans, habitant un village des Cévennes. Sa vie est toute tracée : travail dans la fabrique de pavés d'asphalte, mariage, enfants… Mais le destin en a décidé autrement. La guerre éclate, le village se vide de sa jeunesse. C'est alors que survient l'impensable. Justine se retrouve prisonnière en Lozère, entourée de cinq cents femmes de vingt cinq nationalités différentes et de quelques enfants. La vie est dure, le froid, la faim, l'isolement sont le lot quotidien de toutes ces femmes qui n'acceptent pas cet enfermement. Cependant, elles luttent, des amitiés très fortes se nouent mais l'angoisse est toujours présente…

 SOURCE 

BARRY-Francoise_Justine.jpg

 

22/09/2009

Yves JANIN, l'instituteur globe-trotter

Portrait

 

Yves Janin en cinq dates

1963 : ouvre une école en Algérie

1973 : rentre en France, prend la direction d’une école à Villeurbanne

1979 : s’installe à Vaulx-en-Velin

1980 : fonde Ademir

1995 : participe à la création de la Main à la pâte

 

 

 

Yves Janin, l'instituteur globe-trotter

 

Quand les Français d’Algérie se voyaient contraints de regagner l’hexagone, Yves Janin faisait le chemin inverse. Ainsi commença une carrière hors du commun, qui devait l’amener de la banlieue lyonnaise au Kosovo, en passant par Djibouti ou le Gabon. 

 

 

"Mon père, fils de paysans du Bas-Jura, avait raté le concours d’entrée à l’Ecole normale. C’est peut-être pour réussir dans un domaine où il avait échoué que je suis devenu instituteur…" Pour y parvenir, Yves Janin emploie les grands moyens : en février 1963, quelques mois après l’indépendance, il accepte d’aller fonder une école en Algérie. "C’était un bon moyen d’embrasser la carrière dont je rêvais. J’ai donc été formé sur le tas avec des instituteurs. J’ai rapidement passé mon Certificat d’aptitude pédagogique et je suis parti. Je n’avais pas vingt ans".

Pendant dix années, le jeune homme vit dans la montagne, à 80 kilomètres d’Alger. "Les élèves faisaient jusqu’à une heure et demie de marche pour venir jusqu’à l’école. Je me suis donc organisé, avec l’aide de l’Unicef, pour leur fournir un vrai repas équilibré tous les midis."

 

Retour en France

 

En 1973, il retrouve la région Rhône-Alpes de son enfance. "J’avais envie, passez-moi l’expression, de me planquer comme instituteur de base dans une école." Son expérience algérienne incite pourtant l’administration à le nommer directeur de l’école Berthelot, à Villeurbanne. "C’était une école de 14 classes, dont 90% des élèves étaient d’origine maghrébine. Les enfants n’y respectaient pas les enseignants qui, de leur côté, n’hésitaient pas à proférer des insultes racistes ! J'ai imposé des règles de part et d'autre. Le fait de parler arabe m'a permis d'instaurer un dialogue avec les parents. En quelques semaines tout était rentré dans l’ordre, et ce fut finalement une belle aventure".

Elle prend fin trois ans plus tard, quand Yves Janin part pour Djibouti. "J’avais envie de me retremper un peu dans cette ambiance étrangère. Le travail ressemblait d’ailleurs beaucoup à ce que j’avais fait en Algérie. Il s’agissait de mettre en place un système qui puisse perdurer après mon départ".

 

Le virus de l’informatique

 

En 1979, Yves Janin revient en banlieue lyonnaise. Il prend les rênes de l’école Jean Jaurès, à Vaulx-en-Velin. "L’établissement ressemblait plus à une grosse villa qu’à une école. Entouré par une équipe de gens motivés, je m’y suis fait plaisir pendant 25 ans."

C’est l’époque des premiers micro-ordinateurs. Yves Janin, qui avoue pourtant n’avoir rien d’un scientifique, y fonde l’un des premiers clubs informatiques scolaires de France. Il deviendra Ademir, l’Association pour le développement dans l'enseignement de la micro-informatique et des réseaux. "Pour nous, l’ordinateur était avant tout un outil pédagogique supplémentaire, pour permettre aux enfants de travailler les maths, la maîtrise de la langue ou la sécurité routière."

Dans le même esprit, Yves Janin réussit à faire financer l’aménagement d’une péniche en hôtel flottant. "Nous emmenions deux classes, de Lyon jusqu’à la Camargue, pour des cours en situation sur les sciences naturelles, l’histoire ou la géographie…"

 

La main à la pâte

 

A l’occasion d’une visite à Vaux, en 1995, Hubert Reeves et Pierre Lena, un autre astrophysicien, découvrent cette "Péniche de l’environnement". Avec Georges Charpak, ils cherchent alors à introduire en France un concept américain, qui deviendra chez nous "La main à la pâte", et demandent à Yves Janin de se joindre à leur réflexion. "L’homme de terrain que j’ai toujours été n’en revenait pas : des hommes qui avaient reçu le Prix Nobel me demandaient conseil !"

Depuis dix ans, Yves Janin joue un rôle d’ambassadeur de l’association. A travers des missions de quelques semaines, il exporte ses méthodes pédagogiques aux quatre coins du monde : Colombie, Gabon, Afghanistan, Kosovo… "Notre plus belle récompense, c’est d’avoir invité un Colombien à venir en France, parce qu’ils sont devenus meilleurs que nous dans le domaine de l’évaluation !"

Depuis qu'il a pris sa retraite - il ne se souvient d'ailleurs plus de la date exacte - l'infatigable voyageur a repris la route et continue à parcourir le monde. 

 

 

 

JANIN-Yves.jpgPatrick Lallemant

 

NousVousIlle

 

 

2 juin 2006

 

 

10/08/2009

CV de GATEAUD Jean-Yves (Alexandre)

 

Né le 17 décembre 1949 à Oulches (Indre, 36).

 

Enseignant, homme politique.

 

 

 

 

       CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE

 

Etudes

 

·         Ecole communale de Chavin (Indre).

·         Lycée Rollinat (Argenton sur Creuse, Indre) de 1960 à 1966.

·         Lycée Camille Guérin (Poitiers, Vienne) en1966-1967.

·         Faculté des lettres et sciences humaines de Poitiers de 1967 à 1976.

 

 

Diplômes

 

·         Baccalauréat de philosophie (1967).

·         Licence (1970) et maîtrise (1972) de géographie.

·         CAPES d’histoire géographie (1973).

·         Agrégation de géographie (1974) : reçu 16ème sur 72.

·         DEA de géographie (1976)

 

 

       CARRIERE PROFESSIONNELLE

 

Emplois occupés

·         Elève puis étudiant boursier (1960-1968).

·         Elève-professeur à l’IPES de la faculté de Poitiers (1968-1971).

·         Maître d’internat au lycée d’enseignement professionnel d’Argenton sur Creuse (1971-1972).

·         Professeur certifié stagiaire au CPR de Poitiers (1972-1973).

·         Professeur certifié (1973-1974) puis agrégé (1974-1981) au collège Saint-Jean (ZUP – quartier St-Jean) à Châteauroux.

·         Professeur  à l’Ecole normale mixte de Châteauroux  (1981-1988).

·         Chargé de cours et travaux dirigés en géographie à l’Université de Tours (Unité Aménagement Géographie, 1985-1988).

 

Détachement, mission

·         Chargé par le Recteur de l’académie d’Orléans - Tours d’une mission d’enseignement comme professeur (à mi-temps) à l’Institut universitaire de formation des maîtres, site de Châteauroux (1993-1997).

·         Détaché auprès de l’Assemblée Nationale (1988-1993 et 1997-2002).

 

Autres activités professionnelles :

·         Coopérant en Algérie (août –décembre 1970) au Commissariat national au recensement de la population.

·         Membre de l’Equipe académique « Vie Scolaire » (1974-1977).

·         Membre de jurys de concours (CAPES pratique ; CA de conseiller d’éducation : 1978-1979).

 

 

 

       ACTIVITES PERSONNELLES

 

Œuvres et travaux :

 

·         L’Indre, le Bas Berry de la préhistoire à nos jours (en coll., 1990).

·         Argenton sur Creuse à la croisée de ses chemins (en coll., 2001).

 

CV mis à jour le 1-11-2007

Algerie_INSEE.jpg

03/08/2009

Curriculum Vitae du Dr Patrick DEBRAY

 

 

Docteur Patrick DEBRAY

 

Pédiatre, Praticien Hospitalier plein temps.

Service de Pédiatrie - Centre Hospitalier - B.P. 479 - 59322 VALENCIENNES

Né le 19 juillet 1948 à Mayence (Allemagne). Nationalité française. Marié. Trois enfants.

 

 

DIPLOMES ET TITRES UNIVERSITAIRES

 

Doctorat en Médecine en 1978. Faculté de Médecine Paris XII - Créteil.

Certificat d’Etudes Spéciales de Pédiatrie (équivalence) en 1979.

Chef de Clinique Assistant des Universités Paris V et Paris VI de 1978 à 1982.

Directeur d’enseignement clinique (Faculté de Lille Droit et Santé) de 1985 à 1995

 

 

QUALIFICATIONS PAR L’ORDRE DES MEDECINS

 

Qualification de Spécialiste en Pédiatrie (1982)

Compétence en Réanimation (1985)

Qualification en Médecine Générale (1993)

 

 

FONCTIONS ET TITRES HOSPITALIERS

 

Etudiant hospitalier (1969-1972) Stagiaire interné (1972-1973).

Coopérant technique en Algérie (1973-1974).

Interne des Hôpitaux de Paris (Concours 1973) de 1974 à 1978.

Chef de Clinique Assistant des Hôpitaux de Paris de 1978 à 1982 (CHU Necker-Enfants-Malades 1978-1980, CHU Pitié-Salpétrière 1980-1982).

Aptitude aux fonctions de Chef de service en 1982.

Médecin Adjoint des Hôpitaux Publics en 1982. Fonctions exercées au Centre Hospitalier de SAINTES (Charente Maritime) Service de Pédiatrie et Néonatologie, de 1982 à 1984 (temps plein).

Praticien Hospitalier Chef de Service de Hôpitaux Publics en 1984.

Fonctions exercées au Centre Hospitalier de MAUBEUGE (Nord), Service de Néonatologie, de 1984 à 1990 (temps plein),

et au Centre Hospitalier de VALENCIENNES (Nord), Service de Pédiatrie, de 1990 à 1995 (temps plein).

Praticien Hospitalier temps plein, responsable d’unité fonctionnelle depuis le 1.8.95 par non demande de renouvellement des fonctions de Chef de service, 12e échelon depuis juin 1997.

 

 

 

 Source :

RENIER_infirmerie_mf.jpg
Infirmerie de RENIER

 

 

 

10/04/2009

Bonjour de Jean Bisson

Bonjour !

Bien reçu votre message.
En effet, après deux mois de "classe" en Allemagne (Chasseurs Alpins), pour avoir refusé de couper ma barbe, j'ai été muté en Algérie (années 1956 et 1957 complètes) au 1er Régiment de Tirailleurs algériens, 5° Bataillon, 3° Cie.

En 1964, je suis reparti en Algérie, en coopération (Prof de Français) et j'y suis resté 5 ans (Aïn Témouchent puis Mostagagnem).

Ensuite, j'ai enseigné après 2 années en Côte d'Ivoire.
Puis, dans la foulée, j'ai enseigné 6 ans à Fez, au Maroc.

Cordialement

Jean Bisson


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Musée d'Aïn-Temouchent (ancienne gare)