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18/10/2010

Jean-Pierre ASTE au LACTP

 

CV 2005

Gérant de GIPEA

Ex Professeur associé à l’Institut de Géographie Alpine de l’Université de Grenoble

 

EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

depuis 1993 Gérant de GIPEA, animation scientifique, technique et opérationnelle d’un bureau d’études spécialisé en Géomatique, Ingénierie, Prévention, Environnement et Aménagement. Activité opérationnelle sur deux axes principaux, l’ingénierie géologique et la prévention des risques. Activité de recherche soutenue avec le développement de méthodes et outils innovants et performants sur ces deux axes.  Coordinateur du groupe de travail « Vulnérabilité » au sein du projet européen COST 22, Gestion des inondations urbaines

1992 - 2000 Professeur associé à l’Institut de Géographie Alpine de l’Université de Grenoble, chargé de l’enseignement concernant :

·        les Systèmes d’Aide à la Décision

·        les Systèmes d’Informations Géographiques

·        l’Aménagement en montagne

1991 - 1995 Ancien Président du Conseil Scientifique du Contrat de Plan Etat-Région Rhône-Alpes pour la recherche sur les risques naturels en montagne.  Coordinateur du projet ROMICO au sein du RGCU (Recherche en Génie Civil et Urbanisme)

Animateur du projet européen HYCOSI (1993-1995)

Coordinateur de la partie française du projet européen EPOCH-RIVET (1991-1993)

1973 - 1993 ingénieur au Bureau de Recherches Géologiques et Minières, successivement en charge du développement de la géotechnique sur la région Rhône-Alpes (1973-1981), chef de l’Atelier Risques Naturels et Aménagement en Montagne du département Génie Géologique (1981-1988, à Lyon), chef du service risques naturels et volcanisme du Département Environnement et Risques Naturels (1989-1992, Orléans).

1972 - 1973 chef du laboratoire de contrôle pour la construction du barrage de Bou regreg, à Rabat, Maroc

1970 - 1972 directeur du Laboratoire National du Bâtiment et des Travaux Publics de la République du Bénin, Cotonou.

1969 - 1970 ingénieur à la Fondation de la Géologie, à Nancy.

1967 - 1969 coopérant militaire en Algérie au Laboratoire National du Bâtiment et des Travaux Publics.

 

FORMATION

1978 Diplômé d’Etudes Approfondies en Gestion des Entreprises, Université de Lyon

1967 Docteur en Mécanique des Sols de l’Université de Grenoble

1965 Ingénieur Géologue de l’Ecole Nationale Supérieure de Géologie

 

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 Viaduc de la Chiffa

 

 

08/08/2010

Gérard PERREAU-BEZOUILLE, Coopérant et Photographe

Gérard Perreau-Bezouille, né en 1951, est un élu politique local en tant que premier adjoint de la ville de Nanterre.

Ancien joueur de handball, il dirige pendant un temps le club omnisports de l'Entente sportive de Nanterre puis devient coprésident de la Fédération Française des Clubs Omisports (FFCO).

Il est agrégé d’économie gestion et Chevalier de la Légion d’Honneur.

 

Premier Adjoint de Nanterre

Gérard Perreau-Bezouille est premier adjoint de la ville de Nanterre. Après avoir occupé les fonctions de maire adjoint aux sports et aux jumelages, puis avoir été délégué à la communication aux systèmes d’informations, il exerce les fonctions de maire adjoint aux finances puis de président du groupe C.I.C. (« Communistes et d’Initiative Citoyenne »).

Impliqué très tôt dans les processus de démocratie participative, liant expérimentation pratique et analyses diverses (articles, colloques…), à Nanterre il anime successivement la mise en place des « Cahiers pour la Ville » (élections de 1995), puis les Assises pour la ville (à partir de 1997), du Comité Local de la Démocratie Participative, des « appels à projets » (dispositif original de budget participatif adapté aux conditions françaises). Il propose et met en place « l’Agora - Maison des Initiatives Citoyennes » et Le Cyber (colloque Révolution numérique et mutations urbaines, Déclics !...) à la fusion desquels il travaille dans la dernière période.

Administrateur, depuis sa création, de l'Établissement public d'aménagement Seine-Arche (EPASA), il s'investit beaucoup pour une prospective durable et solidaire, un aménagement sensible, accordant une place spécifique à l'imagination et à l'action sur l'espace public, au respect des différences d'échelle, de temps et d'espace. Il participe au projet de Maud Le Floc'h  "Un élu, un artiste" qu'il présente au Québec. Il développe cette conception lors des entretiens de 2008 du journal Libération, dans un échange avec Sophie DUEZ ; puis, polémique sur le thème des grands Pari(s).

Il assume le passage d’une informatique centralisée (avec un syndicat intercommunal « NORD 92 ») à une informatique répartie (réseaux, micro-ordinateurs), et apporte dans ce cadre une réflexion spécifique à la modernisation du service public communal. Un Budget Par Activité (B.P.A.) est en cours de mise en place sous sa responsabilité afin de permettre aux élus comme aux citoyens de mieux s'approprier les grands choix financiers de Nanterre à partir des politiques publiques avec la construction d'indicateurs d'environnement et d'action.

Il est invité à présenter ces diverses activités lors de colloques professionnels dont les Entretiens Territoriaux de Strasbourg (ETS 2006) organisés par le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT), Multimédiaville, l'Université d'été de la Communication d'Hourtin, le séminaire Autorités de régulation et acteurs publiques territoriaux, le colloque révolution numérique et mutations urbaines...

Deux expériences transversales marquent aussi son intervention au niveau local : la commémoration du changement de millénaire marquée par une exposition constituée d'objets et de témoignages de Nanterriennes et de Nanterriens et "l'année de l'Algérie à Nanterre". Dans le domaine du rapport des villes au monde, il pilote le passage d’une politique basée exclusivement sur les jumelages à une vision à trois composantes de l’activité monde, articulant projets d’action (coopération décentralisée) en liaison avec les citoyens et leurs associations, relance des jumelages traditionnels, travail en réseau.

Coopérant

Coopérant en Algérie (1977-1979) à la Faculté de Sciences Économiques de l’Université d’Alger, il conçoit des supports de formation pour assurer la réussite de la mise en place du Plan Comptable Algérien (PCA).

Amateur

Amoureux de la photographie et du surréalisme, il réalise deux expositions « Algérie au cœur » et « Nairobi » et rédige quelques articles critiques sur des expositions.

 

 

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13/07/2010

François LEFORT, (trop ?) près des jeunes

 

François Lefort

Né en 1946 à Boulogne-Billancourt (92)

 

François Lefort prend très tôt des engagements associatifs (Secours catholique) auprès des enfants maghrébins du bidonville de Nanterre. Organisation de camps d’été, de loisirs sportifs et culturels.

 

Septembre 1970 : Arrivée à Alger comme VSNA, Instituteur au Cours de Rattrapage de Belcourt à Alger de 1970 à 1972, puis directeur de ce Cours jusqu’en 1973.

 

Médecin, diplômé de l’université d’Alger (juin 1982), diplômé d’arabe dialectal à la Sorbonne (1973).

 

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Ordonné prêtre à Alger par le cardinal Duval le 29 juin 1976

 

Ce double engagement de prêtre et de médecin, sa connaissance de l’arabe et des populations immigrées, conduit François Lefort à  exercer son ministère en Algérie d’abord (1970-1982), puis en France comme chargé de mission au Secrétariat d’Etat aux travailleurs immigrés, qui devient ministère des Affaires sociales. (octobre 1982-novembre 1984). Sa mission consiste à concrétiser la destruction des bidonvilles et des cités de transit, à favoriser l’insertion des jeunes de 2ème génération, et la prévention de la délinquance dans les cités difficiles.

 

De novembre 1984 à février 1985, il effectue un tour du monde au cours duquel il s’intéresse à la condition des enfants des rues, notamment en Asie. C’est là qu’il découvre la réalité d’un tourisme sexuel organisé, notamment de pédophilie.

 

Au printemps-été 1985, il exerce la médecine à Tunis, à la clinique Saint-Augustin.

 

À son retour en France, en septembre 1985, il dénonce vigoureusement la pédophilie, exercée par des touristes occidentaux dans les pays du Tiers-Monde. Il dénonce le réseau hollandais Spartacus, éditeur de guides touristiques à l’usage des pédophiles. Il participe à la création d’une association ACPE (Association Contre la Prostitution Enfantine) qui sera présidée par Monique Loustau et participera à des procès de pédophilie.

 

De décembre 1985 à juillet 1993, il est médecin en Mauritanie et participe à la création de foyers d’enfants des rues à Nouakchott dirigés par des responsables mauritaniens ou expatriés. Il est aussi directeur de la Caritas à Nouakchott de décembre 89 à janvier 93.

 

De janvier 1993 à juin 1995, il est secrétaire général du fonds de solidarité pour les enfants des rues de la fondation Raoul Follereau et de juillet 95 à juin 1997 chargé de mission enfants des rues à Médecins du Monde.

 

En 1994 et 1996, il effectue des missions d’urgence avec Médecins du Monde au Zaïre , au Rwanda et au Libéria, notamment pendant l’épidémie de choléra à Goma en 1994, à Monrovia au printemps 1996, à Kisangani et Amisi fin 1996.

 

 

En décembre 1995, il est mis en examen pour viols, plainte portée par des enfants des rues du Sénégal. François Lefort a séjourné moins de 4 mois au Sénégal, le plus souvent pour des séjours de quelques jours. Il  a créé à Rufisque (Sénégal) des sessions de formation de chefs de projets « enfants des rues » du monde entier.

 

 

Depuis juillet 1997, il est engagé au  diocèse de Macon, et en août 1999 devient curé de la paroisse Saint Augustin en Clunisois, 16 communes de la région de Cluny,  et ce jusqu’en juin 2005

 

 

 

En mai 2000, François Lefort écrit : On ne piétine pas les étoiles

 

En septembre 2004, il écrit  : Une sandale dans le désert

 

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Association Droit à la Justice

 

 

 

26/06/2010

Francis PORNON, coopérant et auteur

 

Né à Limoux en 1942, il vit à Toulouse.

Après des études à l'Ecole Normale d'Instituteurs puis à l'université de Toulouse, il publie ses premiers poèmes.

Coopérant en Algérie après l'indépendance comme professeur de philosophie, il exerce ensuite les métiers d'animateur socioculturel, de professeur de techniques d'expression et d'enseignant en lycée dans divers lieux de France.

Il a écrit des poèmes, des contes, des spectacles théâtraux, des  romans dont "Algérie des sources" et récits historiques, des nouvelles, essais, chansons et animé des ateliers d’écriture. Il s'essaie au roman noir avec Saône interdite (« Le Poulpe »), et poursuit dans le genre en entamant une série de polars toulousains : Toulouse barbare et Explosif et vieilles ficelles.

 

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14/05/2010

José BABOT, un goût pour l’enseignement et le contact

 

 

État Civil

Né le 8 juin 1948 à La Réole (33)

Marié, père de 6 enfants nés entre 1972 & 1990.

 

Synthèse

Une expérience généraliste

Depuis l’obtention du diplôme j’ai eu l’occasion de travailler dans beaucoup de domaines de la géologie appliquée : géotechnique, hydrogéologie, prospection minière en faisant tout aussi bien de la recherche bibliographique, de l’enseignement ou de la conduite de chantier (forage, injection) et en étant à chaque fois que le terrain.

J’ai également animé des équipes et géré les problèmes de sécurité et de qualité.

 

Un goût pour l’enseignement et le contact

Je suis né d’une famille d’enseignants et non seulement communiquer un savoir, mais promouvoir des idées a fait partie de mon éducation.

Ma première expérience d’enseignant a été l’encadrement des étudiants algériens en fin de licence en 1973-75, aussi bien en cours qu’en TP et en stage de terrain.

Je n’ai plus eu l’occasion d’enseigner jusqu’en 2000, mais j’ai animé des équipes soit en tant que responsable hiérarchique (Bachy 1978-1980) ou sur des projets particuliers (coordination personnel – Technosol 1975-1978, sécurité & formation Barytine de Chaillac 1980-85).

Pendant 5 ans, j’ai coanimé, avec un intervenant Brgm les stages de formation Diagnostic Initial et ESR à raison de 5 à 7 sessions par an. J’ai mis sur pied, avec l’École des Mines de Douai des stages sur le diagnostic et la surveillance des sites pollués. Je propose actuellement un catalogue de stage inter ou intra-entreprise sur les applications des circulaires de février 2007.

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Dessin de Charles BROUTY : Pétroliers au Sahara